Le premier récit offre le tableau d'une Russie provinciale, burlesque et colorée, à la veille du cataclysme de la Première Guerre mondiale. Le second raconte la vie dans un paradis originel souvent proche de l'enfer, la ville d'Alatyr, dont le nom est aussi celui de la pierre légendaire des contes russes. L'auteur met ainsi en scène des situations où la tragédie le dispute au comique.