Constatant que pendant la prohibition aux Etats-Unis, sans la pègre les musiciens de jazz noirs-américains connus dès 1920 comme Duke Ellington, Louis Armstrong ou King Oliver n'auraient pu jouer dans les clubs, l'historien met en évidence les liens entre jazzmen et gangsters, pendant près de soixante ans, dans des villes comme La Nouvelle-Orléans, New York, Chicago, etc.