Point de départ, de l’anticipation classique : terre polluée, surpeuplée, à court de ressources, bref, fuyons. Mais point de colonisation de mars en vue.
Et si la vie alternative avait pour nouveau territoire le cerveau ? Tout serait virtuel, vécu à l’intérieur d’une bulle où le corps n’a plus à transpirer, souffrir, endurer. Un univers quasi infini, à la mesure de notre imagination…Mais une vie plus fantasmée que vécue. Nous vendrait-on du rêve ?