Adaptation libre du récit autobiographique de Sylvain Tesson.
Avec le refrain ordinaire du jeune urbain renonçant à son confort pour se retrouver, à la source de la vie sauvage, le réalisateur parvient à faire une chanson si ce n’est nouvelle, du moins séduisante. Et si le scénario ne vous emballe pas, le lac Baïkal à lui seul justifie la séance.